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Les Petits Pas Jacadiens lancent un projet de développement culturel en gigue

C’est avec grand plaisir que Les Petits Pas Jacadiens annoncent le lancement du projet novateur « Giguerie – Laboratoire de transmission de pas de gigue ».

La tradition de la gigue dans Lanaudière est la vedette de ce projet financé par le ministère de la Culture et des Communications. Alimenté par des archives vidéo, Giguerie vise la transmission de la pratique auprès du plus grand nombre grâce à une approche intergénérationnelle. Des rencontres et entrevues avec des gigueurs et des gigueuses de la région permettront aux chercheurs d’enrichir les archives et les connaissances.

L’équipe de l’organisme Les Petits Pas Jacadiens qui déploie le projet Giguerie : Mélody Clermont (vice-présidente), Gisèle Bérubé (administratrice), Nadyne Bédard (secrétaire), Charlotte Kelly (coordonnatrice du projet), Guy Charbonneau (administrateur) et Philippe Jetté (président). Crédits photo : Guillaume Morin, Les Petits Pas Jacadiens.

Étude de pas et de style

L’organisme a développé une grille d’analyse de pas de gigue qui permettra d’identifier les particularités de cette danse rythmique dans Lanaudière. Certains styles et pas de gigue pourront donc être identifiée comme commun à la région, ou encore spécifique à certaines localités.

Développement de la pédagogie

Accompagnés d’experts dans le domaine, Les Petits Pas Jacadiens conduiront une réflexion sur la pédagogie et l’enseignement de la gigue pour en favoriser la transmission. L’intégration de certains pas typiques ou tirés des recherches et archives vidéo permettront de différencier l’expertise de nos animatrices et animateurs.

Un impact structurant

Les résultats de la recherche seront diffusés sous forme d’ateliers et sur nos différentes plateformes que tous seront invités à partager.

« À ce jour, aucun recensement de pas de gigue n’a été effectué dans Lanaudière », constate Philippe Jetté, président de l’organisme. « Nous sommes heureux de déployer un projet novateur pour développer la gigue dans Lanaudière et au Québec grâce à une vision de développement culturel structurante et à des collaborateurs et des partenaires régionaux et nationaux d’envergure. » L’initiative est soutenue par les partenaires suivants : ministère de la Culture, la Ville de Joliette, Danse Traditionnelle Québec, Club Gigus, Archives Lanaudière, CRAPO de Lanaudière, MRC de Montcalm, Ville de Rawdon et l’École primaire Saint-Joseph de Saint-Liguori.

Le lancement du projet a eu lieu le samedi 17 décembre dernier dans le cadre de « La sacrée veillée! Au cœur des traditions ». Un atelier de gigue s’est intégré à cet événement rassembleur qui met à l’honneur plusieurs traditions de Lanaudière.

Visionnez la vidéo de lancement du projet ICI.

Pour suivre l’avancement du projet, consulter le site web et les réseaux sociaux de l’organisme.

Information : projet@lespetitspasjacadiens.com ou 450 839-7527.

Rappelons que l’organisme Les Petits Pas Jacadiens a pour mission de valoriser, transmettre, promouvoir et diffuser  la danse et la gigue traditionnelles québécoises et acadiennes.

Le Conseil québécois du patrimoine vivant dévoile la programmation des Veillées de danse de la Fête nationale

Le Conseil québécois du patrimoine vivant (CQPV) est heureux de dévoiler la programmation des 25 veillées de danse de la Fête nationale, réalisées en partenariat avec le gouvernement du Québec. Quoi de mieux que de découvrir ou redécouvrir cette tradition festive en cette période de célébrations? Parcourez le Québec en participant aux 25 veillées de danse traditionnelle, tout à fait gratuitement.

Du 17 au 22 juin, toute la population est invitée à swinguer sa compagnie lors d’événements extérieurs rassembleurs, sous la gouverne de musiciens trad et d’un. e câlleur.euse. Domino, tout l’monde a chaud!

La danse traditionnelle, c’est une occasion en or de bouger! Après tout ce que le Québec et le monde ont vécu depuis plus de deux ans, c’est le temps de nous rencontrer à nouveau, tous et toutes, jeunes et moins jeunes, d’ici et d’ailleurs, de célébrer qui nous sommes et de festoyer en grand! – Antoine Gauthier – directeur général du CQPV

C’est un rendez-vous pour les amoureux de la danse comme pour les néophytes à la recherche d’émotions fortes. Ces
soirées font partie de la culture du Québec et contribuent à perpétuer la tradition et à la transmettre aux prochaines
générations.

Qu’est-ce qu’une veillée de danse traditionnelle? Visionnez cette vidéo pour un aperçu.

Parmi les veillées à ne pas manquer :

  1. Dansons nos traditions (17 juin, Lejeune, Halte Lacustre du Grand Lac Squatec)
  2. Une veillée su’l parvis (17 juin, Lachine, Parvis de l’église des Saints-Anges)
  3. Veillée de danse TRAD à St-Odilon (18 juin, Site de l’OTJ)
  4. La veillée de danse du Lac Maskinongé (18 juin, Saint-Gabriel-de-Brandon, Bal Maski)
  5. Pique-nique sympathique et danse trad (18 juin, Lévis, Site du couvent de Jésus-Marie)
  6. La danse d’avant (18 juin, Stoneham-et-Tewkesbury, Site de la chapelle de Tewkesbury)
  7. Veillée au coin du rang (18 juin, Weedon, Terrain de l’aréna)
  8. Ça danse à Saint-Laurent (18 juin, Île-d’Orléans, Terrain des loisirs)
  9. Bal Trad Paysan (18 juin, St-Félix-d’Otis, Site de la micro-ferme)
  10. Tournée régionale trad: Veillée de danse (19 juin, Val-d’Or, Marché public de la Vallée-de-l’Or)
  11. Veillée dansante traditionnelle (19 juin, Lachine, Club Chasse et Pêche)
  12. Danse trad sur un plateau (19 juin, St-Alexis-de-Matapédia, Parvis de l’église de St-Alexis)
  13. La Grande Veillée sur les berges du Richelieu (19 juin, Otterburn Park, Site de la Pointe-Valaine)
  14. Danse Trad au Marché champêtre de Melbourne (19 juin, Melbourne)
  15. Une danse pique-nique à Douglastown (19 juin, Gaspé, Terrain du Centre communautaire Douglas)
  16. Danser sous le soleil de Québec (19 juin, Parc de la Cetière)
  17. Veillée d’la St-Jean – Solstice en Bellechasse (21 juin, Beaumont, Parc récréotouristique de Vincennes)
  18. La Veillée Tissés Serrés (21 juin, Laval, Parc Bernard-Landry)
  19. Soirée dansante en hommage à Philippe Gagnon (21 juin, Val-David, La Seine de l’Île)
  20. Les petites veillées trad de Saint-Ours – Édition St-Jean-Baptiste (22 juin, Parc Alphonse-Desjardins)
  21. Ça swingue à Petite-Vallée (22 juin, Théâtre de la Vieille Forge)
  22. La Veillée d’EspaceTrad (22 juin, Montréal, Parc Ahuntsic)
  23. La veillée de danse du Festitrad (22 juin, Préau de Saint-Jean-de-Matha)
  24. La danse trad au cœur du village (22 juin, Lévis, Rue Saint-Louis – entre Dorimène-Desjardins et Côte du Passage)
  25. Veillée Trad du Solstice (22 juin, Waterville, Parc Bellevue)

Tous les détails et la programmation complète se trouvent ici.

Du 17 au 24 juin 2022, les occasions seront nombreuses pour célébrer la fête nationale. Le gouvernement du Québec
vous invite à prendre part aux différentes activités culturelles qui seront proposées partout au Québec. Pour en savoir
plus quebec.ca/fetenationale

À propos du Conseil québécois du patrimoine vivant
Le Conseil québécois du patrimoine vivant (CQPV) constitue depuis 1993 l’organisme de regroupement national en
patrimoine immatériel, soutenu par le ministère de la Culture et des Communications. Il fédère de façon démocratique
plus d’une centaine de membres associatifs des quatre coins du Québec. Il réalise des actions de concertation,
représentation, recherche, regroupement, transmission et promotion, tant à l’échelle locale, nationale
qu’internationale. Le CQPV est reconnu par l’UNESCO comme ONG-conseil dans le cadre de la Convention pour la
sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.

Une transformation nécessaire

L’organisme Les Petits Pas Jacadiens adapte son véhicule aux nouvelles réalités

Préambule

L’organisme Les Petits Pas Jacadiens (PPJ) naît en 1975 à Saint-Jacques, communauté fondée par des Acadiens de la déportation. L’organisme évolue dans un contexte de loisir en dirigeant une école de danse traditionnelle offrant des cours, aux personnes âgées de cinq à vingt-cinq ans, et des spectacles de « danse traditionnelle ». Des chorégraphies d’inspiration traditionnelle sont enseignées et présentées publiquement au Québec et aux quatre coins du globe. Les points culminants sont bien sûr le spectacle annuel de l’école de danse et les tournées.

Depuis les années 2000, les dirigeants de l’organisme observent une chute drastique des inscriptions à l’école et à la troupe de danse. Les PPJ doivent désormais adapter leur véhicule aux nouvelles réalités et trouver des nouveaux moyens pour atteindre leurs objectifs. Les PPJ n’est pas le seul organisme à vivre une telle situation. Une réflexion nationale est nécessaire, car cette situation concerne tous les groupes ou ensembles folkloriques québécois.

Genèse

En 2010, après 35 ans d’existence, Les Petits Pas Jacadiens ressentent un besoin de restructuration. À l’automne de cette même année, les PPJ rassemblent les instances locales et régionales, pour discuter de l’avenir de l’organisme. Suite à cette rencontre, les PPJ déposent un projet visant à produire un plan d’action concerté avec les organismes du milieu. Doutant de la capacité des PPJ à porter une telle transformation, les bailleurs de fonds accordent une subvention uniquement pour établir un diagnostic de positionnement.

L’année 2012 marque le dépôt de l’analyse de positionnement de l’organisme.

Constats préoccupants [2012]

Nous vous partageons ici les quatre constats majeurs de l’analyse de positionnement de l’organisme.

  1. L’intervention des PPJ est en rupture avec la transmission de la danse traditionnelle. Il est à noter que pendant ces 37 ans d’activités « jacadiennes », il y avait une pratique traditionnelle de danse continue dans des familles et des salles publiques de la région de Lanaudière, et qu’il n’y a eu aucun vase communicant entre Les PPJ et la communauté de danseurs. La relation à la communauté est donc à construire.

 

  1. Le spectacle a un impact négatif sur la transmission et que la chorégraphie scénique fige la tradition. En d’autres termes, le spectacle folklorique contribue fortement à intensifier le processus de fixation et accélère la disparition de la danse traditionnelle vivante.

La Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO (2003) et la Loi sur le patrimoine culturel du Québec (2011) parle plutôt de transmission de génération en génération et que les pratiques traditionnelles soient recréées en permanence par les communautés. L’UNESCO insiste sur le fait de « sauvegarder sans figer ».

  1. Le port d’un costume d’époque est « étranger au quotidien, à la fois carcan et élément différenciateur des autres et obstacle à l’insertion de la danse dans la vie de tout le monde ».

 

  1. Sur plusieurs centaines de personnes, voir plus d’un millier, ayant dansé au sein de l’organisation, très peu dansent encore.

Après avoir pris connaissance de cet état de la situation, les membres de l’organisme avait le choix d’être en continuité ou en rupture avec les valeurs du patrimoine (rassemblement, socialisation, expression, plaisir, transe, identité, partage, inclusion, accomplissement personnel et collectif, entre autres), soit de danser ensemble en communauté. Les membres de l’organisme ont opté pour la continuité !

En 2013, l’organisme libelle sa mission de la manière suivante : « Valoriser, transmettre, promouvoir et diffuser la danse traditionnelle québécoise et acadienne ».

Un projet porteur pour un repositionnement déterminant

Afin de s’enraciner dans son milieu et de permettre la continuité d’une pratique culturelle traditionnelle, dans l’esprit des objectifs de la Loi sur le patrimoine culturel du Québec, l’organisme propose, en 2013, un projet voulu comme étant « collectif » et « rassembleur ». Le projet « Transmission de la danse traditionnelle en Nouvelle-Acadie » visait à transmettre les danses du terroir, à impliquer la communauté dans cette transmission, à valoriser les porteurs de traditions et la pratique de la danse traditionnelle, à renforcer la cohésion sociale et l’identité collective, à dynamiser le milieu de vie et à mobiliser la communauté autour d’une action collective. Le projet offrait également la possibilité de dépasser les frontières municipales et de permettre des échanges entre communautés voisines.

Les PPJ ont organisé, en seulement un an et demi, 50 activités de danse traditionnelle dans Lanaudière, en plus de développer de nombreux partenariats. Ce dynamisme a permis de revitaliser et de documenter treize danses différentes.

Un concours mobilisateur

À l’automne 2014, les PPJ ont lancé le concours « Câll » la veillée chez vous ! Les familles des six communautés couraient alors la chance de gagner un musicien et un câlleur dans leur veillée du jour de l’An. Ce sont douze familles qui ont eu la chance de vivre cette expérience culturelle sur deux ans. L’impact du concours en a étonné plus d’un. Le défi était de mobiliser et de pénétrer les réseaux privés, les familles et les groupes d’amis.

Ateliers de câll

Afin de développer l’autonomie du plaisir collectif, Les PPJ organisent des ateliers de câll suivi de veillées de danse où les apprenants câlleurs deviennent des câlleurs-dansant dans leur propre set pendant la soirée.

Les veillées de danse au centre-ville de Joliette

En 2015, Les PPJ s’associent à la Ville de Joliette, la Société de développement du centre-ville de Joliette et Mémoire et Racines pour présenter des veillées de danse estivales extérieur au cœur du centre-ville de Joliette. Ce projet se poursuit malgré une interruption dû à la pandémie. Il permet de démystifier la danse traditionnelle, de la rendre accessible et visible dans la sphère publique ainsi que de permettre à de nombreuses personnes de s’initier à cette pratique ou à leur raviver la mémoire et les souvenirs.

Une vision et des objectifs audacieux

En 2019, l’assemblée générale annuelle adopte officiellement des objectifs et une vision donnant une orientation prometteuse à l’avenir de l’organisme et de la danse traditionnelle.

Objectifs

  • Développer la pratique de la danse traditionnelle sur le territoire lanaudois.
  • Dynamiser le milieu de vie.
  • Favoriser la prise en charge individuelle et collective.
  • Développer le plaisir de danser ensemble, en communauté ou en famille.
  • Favoriser la connaissance de la pratique.
  • Documenter la pratique de la danse traditionnelle et rendre la documentation accessible.
  • Impliquer les citoyens, les milieux institutionnels et associatifs et les porteurs de traditions dans l’action collective et l’activation des connaissances en danse traditionnelle.

Vision

  • Les danses traditionnelles du terroir se transmettront sans rupture de contact (de personne à personne).
  • La communauté, les familles et les groupes d’amis seront autonomes dans la pratique et la transmission de la danse traditionnelle.
  • La danse traditionnelle aura retrouvé des fonctions dans les fêtes populaires et les rassemblements de la communauté.
  • Les porteurs de traditions et la pratique de la danse seront mis à l’honneur.
  • La danse traditionnelle permettra des échanges culturels entre communautés.

Par nos projets rassembleurs, nous visons une collectivité dynamique, riche, attractive, unie, fière et engagée avec une appartenance et une identité fortes.

Notre vision de développement engendre les retombées suivantes.

  • Affirmer et renforcer la cohésion sociale, le sentiment de fierté et d’appartenance.
  • Permettre la continuité de la pratique de la danse traditionnelle.
  • Développer l’autonomie du plaisir collectif.
  • Concerter et mobiliser le milieu pour réaliser des actions collectives.
  • Développer les liens intergénérationnels.
  • Retrouver l’esprit de la fête communautaire.

Documentation de la gigue

À l’automne 2021, Les PPJ lancent un appel aux familles lanaudoises pour découvrir, valoriser et transmettre le répertoire de pas de gigue pratiqué dans les chaumières lanaudoises. Les PPJ sont à la recherche de photos et de vidéos de gigue. À ce jour, aucun recensement de pas de gigue n’a été effectué dans Lanaudière. Nous ne connaissons donc pas le répertoire pratiqué transmis par tradition orale dans les familles lanaudoises. Nous demandons donc la contribution des citoyens dans cette démarche novatrice de documentation de pas de gigue.

Conclusion

L’organisme Les Petits Pas Jacadiens a su adapter son véhicule et ses moyens à la lumière des derniers éclairages au niveau du patrimoine vivant et du développement culturel afin d’accomplir sa mission visant à permettre la continuité de la danse traditionnelle.

En cette ère de pandémie mondiale, l’organisme consacre ses efforts à la refonte de son logo et à un projet mystérieux qui sera dévoilé dans les prochains mois.

RÉFÉRENCES

La revue Québec Folklore dédie un cahier à Les Petits Pas Jacadiens

Québec Folklore, la revue – mars-avril 2017 – des arts et traditions populaires au Québec, dédie le cahier « D’hier à aujourd’hui » à l’organisme Les Petits Pas Jacadiens.

Un imposant article, rédigé par Philippe Jetté, nous fait vivre le contexte d’évolution de l’organisme et comment il a su se renouveler après 37 ans d’existence. Le cahier est principalement consacré à un projet porteur pour l’organisme et leur communauté : Transmission de la danse traditionnelle en Nouvelle-Acadie. L’auteur nous transporte de la genèse du projet jusqu’à ses retombées. Il décrit son processus de développement et de transmission. L’organisme a réalisé 50 activités de danse traditionnelle en seulement un an et demi. Ce projet novateur peut être vu comme une première étape d’une entreprise de développement local, régional et durable à plus long terme.

De plus, le cahier comprend la transcription d’une danse de Rawdon. Il s’agit d’une première chaîne nommée First chain par les Irlandais de Rawdon. Cette danse a été retranscrite d’après le câll de Guy Bélisle et les danseurs de la communauté rawdonnoise qui se rassemblent toujours à la salle anglicane de l’endroit. Aussi, Les Petits Pas Jacadiens vous invite à son événement bénéfice, une Veillée de danse de la Mi-Carême le 25 mars prochain

Après 41 ans de valorisation de notre tradition dansée, Les Petits Pas Jacadiens rêvent d’un développement collectif et durable de la pratique de la danse traditionnelle. Pour ce faire, il propose de réaliser des stratégies d’intervention (actions et recommandations), notamment pour offrir de l’autonomie aux familles et aux groupes d’amis en leur donnant des formations sur mesure (danse, câll, musique).

Le cahier « D’hier à aujourd’hui » de la revue Québec Folklore, éditée par le Réseau Québec Folklore, mérite d’être lu pour bien saisir les enjeux, les défis et les impacts d’un organisme culturel en patrimoine immatériel au Québec.

Un article similaire avait été publié dans le Bulletin Mnémo en août 2015. Téléchargez-le ici.